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Partage.

A la frontière, entre la folie la sagesse,
Un instant d'éternelle tendresse, je t'ai aimée.
Et le mystère, de la douceur de nos carresses
Restera lié à l'ivresse, corps enlacés.

Tu m'as donné la force d'être enfin moi même,
Et tu m'as dit: "Lorsque tu aimes, tu es aimé,
La vérité reste la loi de la bohême,
Tu devras étouffer ta peine, et t'en aller."

Je t'ai aimée, tu resteras toujours la femme
Qui a vu naître ses désirs contre mon corps.
Ma liberté, celle de mes joies, celle de mes larmes,
Epanouie dans le plaisir, te cherche encore.

Et si la vie, me laisse un jour le choix des armes
Je prendrai les jeux de l'amour, pour un duel.
Et même si, tu triches en usant de ton charme
Tu dormiras au petit jour entre mes bras.

Mais si l'amour reste encore pour toi partager,
Gardes en mémoire une histoire qui n'a pas de fin.
Et par delà nos colères et tout ce temps passé,
Apprends à garder dans ta main, l'empreinte de ma main.


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© Dominique Vastra 2002